La planète sur laquelle nous résidons est constituée de multiples forces et énergies, lesquelles interagissent en permanence avec toute forme de vie, qu’elle soit humaine, animale ou végétale.
Le milieu vital dans lequel nous vivons est avant tout le lieu de rencontre et d’échange de deux énergies fondamentales : l’énergie tellurique qui émane de la Terre et l’énergie cosmique qui provient de l’espace.
Les ondes telluriques proviennent du magma en fusion au centre de la Terre, de la croûte terrestre ainsi que du sous-sol. L’énergie cosmique quant à elle est la conséquence directe des rayonnements du soleil, de la lune et des autres astres qui nous entourent.
Tout ce qui vit sur Terre se trouve sous l’influence de ces deux forces primordiales, qui mêlées ensemble font partir du champ électro-magnétique dans lequel nous évoluons.
A l’image d’une pile qui possède un + et un -, l’énergie cosmique qui est de polarité positive et l’énergie tellurique qui est de polarité négative apportent à tout être vivant l’énergie de vie et la vitalité dont il a besoin pour son bon développement cellulaire et physique, mais aussi psychique.
Tout déséquilibre cosmo-tellurique sur un lieu de vie risque donc de déséquilibrer le système énergétique d’une personne et de devenir à longue la cause de problèmes de santé ou de maladie.
C’est la mesure du rapport cosmo-tellurique qui va permettre au géobiologue de se faire une idée de la qualité énergétique d’un lieu et des éventuelles perturbations qu’il va pouvoir y rencontrer.
L’équilibre cosmo-tellurique va être rompu dès lors que la circulation des énergies telluriques et/ou cosmiques vont se voir entravées par la présence de perturbations géobiologiques.
Citons par exemple la présence d’un croisement Hartmann associé à une veine d’eau et une faille, situé juste au niveau de l’endroit de repos ou de sommeil. Ou bien encore l’isolation du toit dont le matériau va stopper complètement l’arrivée de l’énergie cosmique dans l’habitation. Cela peut avoir à la longue des conséquences désastreuses, comme l’apparition d’un cancer qui aurait pu peut-être évité si la personne n’avait à la base aucune disposition et terrain à risque pour ce type de maladie.
Au sein d’une même habitation, le taux cosmo-tellurique peut varier dans chaque pièce selon les perturbations qui y résident. C’est pour cela aussi que dans certaines pièces d’une habitation on peut se sentir mal à l’aise ou avoir des difficultés à dormir et à se régénerer.
Pour se sentir bien sur son lieu de vie, l’idéal est d’avoir un taux de 80% pour le cosmique et de 20% pour le tellurique. Mais il est également important que les énergies en présence entrent en syntonie avec nos propres énergies.
Dans le cas d’un taux cosmique plus élevé que la normale, on court le risque de manquer d’ancrage ou de ressentir un certain inconfort face à des énergies trop hautes qui ne vont pas forcément nous correspondre sur le plan vibratoire. Tout dépend évidemment s’il s’agit d’un endroit où l’on séjourne en permanence ou si l’on ne s’y rend que ponctuellement pour profiter de belles énergies qui vont nous permettre de nous ressourcer et de nous relier au sacré.